Douce Balade inattendue pour le court métrage « Nightingale » d’Emile Bertherat

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« The year was 2016. Your first love and your best dream »



Écrit et réalisé par Emile Bertherat, le court métrage « Nightingale » (rossignol en Français), tourné à New York, nous plonge dans une atmosphère particulière, douce et captivante à la fois. Le film a déjà été projeté dans une galerie à Paris et dans une foire artistique à Lille, les deux fois selon un système de projection en boucle.


Ce court métrage nous interroge sur notre rapport à la technologie dans une société hyperconnectée et pourtant si déconnectée.


Le personnage principal, joué par Erik Reeves, erre au fin fond de ses pensées fantasmatiques. Ainsi, le pouvoir de son imagination le laisse seule face aux bruits et aux mouvements de la ville. Il n’a Dieu que pour cette fille, jouée par Sophie Kanny (Elite London), visible qu’avec des lunettes spécialement conçue pour elle.

Ce court métrage nous interroge sur notre rapport à la technologie dans une société hyperconnectée et pourtant si déconnectée. Le personnage principal s’enferme peu à peu dans un imaginaire rassurant et destructeur à la fois: celle d’une désocialisation affective avec sa partenaire virtuelle. Un sorte d’échappatoire céleste inattendu.


La musique de « Nightingale »


La musique de « Nightingale » a été composée par Lucien Bruguière (Lucien & The Kimono Orchestra). Prenante, la leçon de piano de Lucien qui accompagne le récit a un air de Chopin qui nous transporte.

Lucien vient de sortir un nouvel EP éponyme sur le très bon label Cracki Records (L’Impératrice, Isaac Delusion…) pour une délicieuse balade sonore.


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Écouter – http://bit.ly/2e3YM5c
Spotify – http://spoti.fi/2e3Sx1n
Deezer – http://bit.ly/2eM2jU7
Itunes – http://apple.co/2dSUM4d
Artwork – Antoine Duruflé